Embarquez dans un tour du monde de la Figurine et redécouvrez les sept Slayer Swords décernées en 2012!

Ce diorama opposant des Orques Sauvages à des Militaires de l’Empire se distingue par une belle harmonie des couleurs et une lumière prononcée sur les pirates verts. Le décor reste simple mais pemet aux peaux vertes de ressortir dans toutes leur splendeur.

Raffaelle Picca a réalisé un duel très dynamique entre un Troll et un Nain. Le mouvement et le contraste des protagonistes est très bien amené par ce mélange bleu-orange.

En Amérique du Nord, la pièce primée est une transposition de Lelith Espearx en Elfe Sylvain. La figurine est ici très finie et le socle vraiment superbe ! Un travail d’orfèvre.

À nouveau une figurine individuelle en Australie avec cette fois ci le champion de Nurgle. Le mouvement de l’eau permet de ressentir la chute d’un personnage bien amoché par Mr Pustules.

La Slayer Sword la plus marquante de l’année est sans doute l’immense création de Karol Rudyk représentant un chevalier des Comtes Vampires. La composition est saisissante, remplie de détails, et transmets toute la force et le malaise d’un tel personnage. Le mal n’est qu’une expression de la douleur.

Ce Big Boss Ork est une pièce dynamique sur laquelle un gros travail de transformation a été réalisé. On appréciera la teinte de peau froide qui nous change des carnations tirant souvent sur le jaune. Les couleurs se marient très bien et la pièce se lit d’une façon parfaite.
Avec un haut niveau technique et une peinture réaliste, le Chevalier Gryffon de Bruno Lavallée est une pièce très forte. Le socle et la peinture se répondent dans une harmonie assurée. Pour apprécier les détails, faites un petit tour par ici.
On retrouve au final des figurines qui savent saisir une ambiance, qui portent elles même leur univers. Les personnages sont peints dans des schémas de couleurs très académiques mais donnent sept pièces superbes. Si il y a moins de dioramas, il reste une majorité de grosses figurines, et les deux entrées individuelles confirment qu’il n’est pas toujours nécessaire d’entreprendre un projet colossal pour se démarquer. Comme en 2011, on retrouve de l’Ork, du Comte Vampire et du Nurgle. On a en revanche plus de mal à distinguer les différents styles en fonction des pays.
Des remarques ? Des coups de coeur ? N’hésitez pas à partager vos impressions !











Il t’en manque 1 pour cette annee a laquelle un GD japonais est apparue.
Slayer Sword Japon attribue a Christopher (cf mon article sur l’evenement japonais).